Un pastiche sinon rien

Quand ce livre est paru (*), la couverture "casual" m'a immédiatement fait penser à une mise en scène.

Il ne me manquait que la maîtrise de l'outil.

Voilà, c'est fait.

(*) Je sais c'est mal de se moquer du nom des gens. Jean-François n'aurait peut-être pas eu cette brillante carrière d'essayiste s'il avait gardé son patronyme, qui sait. Quant à Mathieu, il a tout assumé, grand bien lui fasse.

Comments

[Mifa]

Ce qui change, dans ce livre, c'est la bonne volonté, de part et d'autre.  Confronter des positions philosophiques très différentes, écouter l'autre soigneusement, réagir sans agressivité,
sans étaler sa propre (supposée) supériorité, sa propre conception du monde. Un dialogue intéressant et intelligent.
Mais je n'ai rien lu d'autre de J.F.Revel.
(Pourtant, John wayne - absent du livre - c'était ma tasse de thé ! :-) )

[Gino Gordon]

Bon alors, va falloir que je le lise !

[Mifa]

Z'avez trouvé le livre en escaladant une dune ?

[Gino Gordon]

Je ne l'ai pas lu. Je ne suis pas un fana du grand admirateur de l'Amérique qu'était JF Revel, et j'avoue un peu intrigué par le fils. Mais sans plus.


J'aurais pu intituler:


C'est parce que les bonzes amis se font rares que rien ne vaut la famille.